Premiers pas ce week-end à Lyon dans les Racines de la présence.
Cette nouvelle année des Racines de la présence est axée sur l’aventure de la conscience, la connaissance de soi et du soi à travers les mythes.
Comment oeuvrer dans le monde, sans se connaître soi-même? Comment vivre dans le monde, entrer en relations, prendre des engagements personnels ou professionnels si nous ne nous connaissons pas en profondeur? Si nous ne sommes pas conscients de nos représentations, de nos conditionnements, de nos illusions nous risquons de les projeter sur le monde et de tourner dans des scénarios de souffrance à répétition.
La co-naissance de soi est la possibilité de re-connaître son mythe fondateur, de se familiariser avec le monde du sens, de s’ouvrir à la richesse symbolique de résonances et de liens des différentes dimensions de l’être.
Voyager à travers les mythes, leurs archétypes et leurs clés d’ouverture nous invite à explorer nos états de conscience. En allant au bout de la singularité que nous sommes, nous découvrirons la métamorphose qui accomplit la beauté primordiale de notre nature essentielle.
Nous sommes des êtres de mémoires et de blessures, mémoires transgénérationnelles, blessures anciennes qui nous empêchent de vivre notre destin. Nous libérer de ces mémoires demande de les regarder en face, de les retraverser, de les conscientiser. Changer d’état de conscience pour changer le cours de sa vie est au coeur de l’aventure humaine, individuelle et collective.
Nous sommes aussi des êtres capables de faire l’expérience d’une présence inconditionnelle, « sans mémoires », sans calculs et sans préméditations, accueillant les forces vives de l’instant sans nous accrocher à nos identifications habituelles. La pratique de la méditation nous ouvre cette perspective : l’apprentissage du lâcher-prise libérateur, ouvrant sur la bienveillance universelle.
Deviens la terre primordiale que tu as toujours été, présent au présent sans mémoires, fluide en les énergies de l’instant.
Et pour cela traverse toutes les mémoires du passé, celles qui t’entravent et font obstacle à la connaissance de qui tu es.
Début de l’atelier Racines de la présence : samedi 12 octobre, accueil à partir de 9h30 à la salle des cabirottes, Lyon vaise
Plume sioux 
Certes, ils s’amusent bien à te danser dessus!En vérité ton âme est un puits occupé par d’étranges démons.Elle est,si j’ose dire,à la fois louche et borgne.Un mensonge flatteur suffit à l’embraser.Le mensonge!Tes chiens n’aiment rien tant que lui.Comment donc espérer les rendre raisonnables?Aux temps insouciants,ton enfance ne fut qu’un champ abandonné au caprice grognon,au désir puéril d’éternelles vacances.Puis ta jeunesse vint.Que fut-elle,dis-moi?Un chemin de vaine parade,un temps d’arrogante folie.Voici l’imparable vieillesse,et ne reste au-dedans de toi qu’un esprit sombre,radoteur,épouvanté par l’impuissance et par les griffes de la mort.Qu’as-tu appris en fin de compte?Rien.Pauvre vie,pauvre vivant,dis-moi comment avec ce rien apprivoiser tes bêtes brutes?Celui qui n’ensemence rien,que récolte-t-il?Des cailloux!Ces chiens,ces maudits chiens te tiennent.Ils t’asservissent.L’échine courbée,tu les sers!Ton âme ne connaît rien d’autre que le froid glacial de l’orgueil et le feu brûlant des passions.On appelle cela l’enfer.Tu peux cent fois mourir d’effroi,au seuil de l’éternel retour cent fois tu les retrouveras,ces increvables chiens de l’âme!
L’antidote:les Constellations
Bien sûr
extrait de la conférence des oiseaux
Soyons Huppe
Voilà qui nous promet de grandes aventures, en compagnie d’Hélène, la fille du Cygne, sœur de Castor et Pollux: accrochez-vous, ça démarre!
Notre robe magique faite de plumes de cygne!
La plume de Simorgh est indescriptible